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Non, il n’y a ni «entrisme des Frères musulmans» ni «islamo-gauchisme» à l’université. C’est le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche qui le dit. En tout cas «pas de manière structurée et visible», a précisé Philippe Baptiste lundi 7 juillet sur LCP, même si «on peut évidemment avoir des cas et évidemment, il faut être extrêmement ferme là-dessus».
Affirmant être «hyper vigilant» pour «vérifier que ce qui s’y passe est conforme à la loi», le ministre est revenu sur la tradition française «des universités, ou plutôt des départements d’universités qui sont très politisés». Et Baptiste, lui-même chercheur ayant dirigé divers labos ou institutions (Centre national des études spatiales, direction générale de la recherche et de l’innovation…), d’affirmer : «Il y a des gens qui sont très sensibilisés aux questions des diversités et en particulier à la manière dont les diversités sont ressenties par de