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Après la «catastrophe» du meeting de Valérie Pécresse au Zénith de Paris, Laurent Wauquiez s’est réjoui, et pas qu’à moitié, selon le Canard enchaîné de cette semaine. «Il n’y aura plus qu’à se baisser pour ramasser le parti. Et ce n’est pas ce con de Bertrand qui m’empêchera de le faire», a-t-il déjà rêvé tout haut, prédisant la défaite au premier tour de la candidate qu’il est supposé soutenir. Dans le camp du «con» en question, forcément, on apprécie moyennement.
«Si on en est là aujourd’hui, c’est aussi à cause de Wauquiez, rétorque un proche du patron des Hauts-de-France, qui avait quitté LR en opposition à l’homme du Puy, avant d’y revenir pour le congrès. Il a eu sa chance et il a échoué. On ne peut pas imaginer un résultat différent en répétant les