(Ce mezzé est un extrait de Chez Pol, notre newsletter politique quotidienne réservée aux abonnés)
A la campagne
Alors que les ministres sont soumis au devoir de réserve à l’approche des élections et ne peuvent pas (trop) se déplacer, Emmanuel Macron n’a pas les mêmes contraintes. Le Président entame donc un petit tour de France, en commençant mercredi par le Lot, à trois semaines des régionales. Un timing qui n’est pas du goût d’Aurélien Pradié, candidat LR en Occitanie et au coude-à-coude dans les sondages avec la tête de liste LREM Vincent Terrail-Novès (derrière le PS et le RN). «En pleine période électorale, personne n’est dupe sur les vraies motivations d’Emmanuel Macron. Sa venue a davantage des visées électoralistes que d’intérêt général», fustige le cadre de LR dans la Dépêche. Et Pradié de regretter «une époque où certains principes étaient respectés par les présidents de la République, notamment une période de réserve avant les élections». Mais dans le nouveau monde, ça ne se passe pas comme ça.
Ni ni
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