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Majorité: Renaissance perd une partie de son aile gauche

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Le parti En Commun, cofondé par Barbara Pompili, a décidé de ne pas se dissoudre dans Renaissance, la nouvelle version de LREM.
France's Minister for the Ecological Transition Barbara Pompili rings the bell ahead of an emergency meeting to discuss the energy situation in Europe amid Russia's invasion of Ukraine, in Brussels on February 28, 2022. (Photo by François WALSCHAERTS / AFP) (François Walschaerts/AFP)
publié le 5 juillet 2022 à 11h59

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LREM n’est pas encore baptisé Renaissance que l’arrivée au monde du nouveau parti macroniste connaît quelques péripéties – outre le retard pris par rapport à ce qui était avancé. Cette nouvelle entité doit voir le jour en septembre et devait réunir les différentes chapelles des marcheurs, d’Agir à Territoires de Progrès en passant par En Commun. Mais ce dernier, cofondé par Barbara Pompili et l’ancien vice-président de l’Assemblée Hugues Renson, ne sera pas de cette nouvelle aventure.

La décision a été prise lundi 4 juillet à l’unanimité du conseil politique, en l’absence de l’ancienne ministre. «On souhaite garder notre identité», explique le président d’En Commun Philippe Hardouin, qui imagine «reconstruire un vrai pôle politique autour de [nos] convictions sociales, écologiques et démocratiques». Pas une mince affaire alors que le centre de gravité du gouvernement comme de la majorité relative penche