Menu
Libération
Au comptoir de Chez Pol

Michel Barnier souhaite «bon courage» à son successeur dans cette «Assemblée impossible»

Article réservé aux abonnés
Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.
A l'Assemblée nationale mercredi 4 décembre 2024, jour de la censure du gouvernement Barnier. (Albert Facelly/Libération)
publié le 5 décembre 2024 à 11h38

Extrait de Chez Pol, notre newsletter politique réservée à nos abonnés : découvrez-la gratuitement.

Et si c’était encore lui ?

La démission de Barnier ce jeudi 5 décembre rouvre pour quelque temps le bal des prétendants à Matignon. Oh ça va être génial, vous allez voir, on va encore avoir droit à une effusion de noms susceptibles de prendre la tête, non des Français mais du gouvernement. Au rayon des échos qui nous fatiguent déjà, outre la candidature spontanée de Ségolène Royal, voici donc que resurgit l’hypothèse François Baroin, croit savoir le Parisien. Cette idée a au moins le mérite de nous rajeunir un peu. Car la piste Baroin à Matignon ne date pas d’hier. Dans son livre Un chemin français, paru début 2017, le maire LR de Troyes racontait que Nicolas Sarkozy avait promis de le nommer Premier ministre en cas de victoire à la présidentielle. Sarkozy n’ayant même pas franchi le cap du premier tour