Fin juin, il dissertait encore auprès de Libération sur la dissolution, l’inéligibilité de Marine Le Pen, l’hypothèse d’une nomination de Sébastien Lecornu à Matignon, le sort de Laurent Wauquiez, à qui il avait laissé la présidence des députés Les Républicains à l’été 2024, la popularité de Bruno Retailleau… Un an après avoir sauvé son siège face au Rassemblement national, Olivier Marleix devait même sortir un livre, à la rentrée, sur la dissolution, cette folle décision élyséenne signant à ses yeux la «fin du macronisme».
Annoncée ce lundi 7 juillet par son successeur à la tête des députés LR, Laurent Wauquiez, la disparition du député d’Eure-et-Loir a sidéré la droite, dont il était l’une des figures respectées, mais a aussi ému l’ensemble du champ politique, de Marine Le Pen (RN) à Mathilde Panot (LFI) en passant par le Premier ministre, François Bayrou. A l’Assemblée nationale, la vice-présidente Naïma Moutchou (Horizons) a interrompu la séance de l’après-midi, évoquant une «onde de