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La gauche parisienne peut se frotter les mains. Et pas seulement pour se réchauffer les mimines à mesure que l’hiver approche et que les températures baissent. Mais en assistant au spectacle traditionnel du déchirement de la droite dans la capitale. Après des semaines de tergiversations, Renaissance a très largement entériné, mardi soir, son soutien à Pierre-Yves Bournazel, investi par Horizons, parti qui souhaite le départ anticipé d’Emmanuel Macron. Et non à Rachida Dati, ministre de la Culture chouchoute du Président investie par LR mais suspendue par LR pour être restée au gouvernement.
En discussion avec les deux candidats déjà déclarés pour le scrutin municipal de mars, Franck Riester et le secrétaire général de Renaissance, Gabriel Attal, se sont trouvé plus d’atomes crochus sur le fond avec «PYB». «On a eu plus de mal à avoir une discussion