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Eviter d’en faire un événement médiatique pour garantir le calme des débats. Voilà le vœu pieux que formulaient les responsables de la Nupes en ce week-end du 1er mai, dans la perspective de la rencontre censée lancer «l’acte II» de la coalition de gauche formée il y a tout juste un an. Sauf que cette réunion «au sommet», selon les termes de Jean-Luc Mélenchon, risque malgré tout de faire parler d’elle. Une délégation de quatre représentants de chaque formation membre de la coalition de gauche – seize personnes en tout – doit se retrouver ce mardi soir à partir de 20h30 dans un lieu encore inconnu pour ouvrir le dialogue et, espère-t-on du côté de LFI, l’éventualité d’une liste commune pour 2024. «L’idée, c’est de lancer une méthode de discussions, on ne va pas y passer la nuit comme pour l’accord des législatives», assure un insoumis très (trop ?) confiant dans la sauvegarde de ses heures de sommeil.
Trois chantiers se dessinent pour les partenaires de gauche. «Faire le bilan des un an de l’alliance», «faire le point sur les sujets qui nous divisent et voir comment on peut tr