En pleines négociations de ce nouveau «Front populaire» acté lundi 10 juin au soir par la gauche, le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, plaide dans Libération pour la mise en place d’«un programme de rupture […] crédible». Qui rejette notamment «la brutalisation du débat public». Une mise en garde à destination d’une partie des insoumis qui font partie de cette nouvelle alliance. Selon lui, Jean-Luc Mélenchon n’a, cependant, plus la légitimité pour prendre le lead de cette union.
Lundi soir, les différents partis de gauche ont annoncé un accord de principe pour un «front populaire» aux législatives des 30 juin et 7 juillet. La gauche est-elle à nouveau «unie» ?
Elle a une volonté de parvenir à un accord face à la menace de voir arriver l’extrême droite au pouvoir. La potentielle