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C’est avec la menace d’une motion de censure en tête que François Bayrou s’est lancé à la tribune de l’Assemblée nationale, le 14 janvier. Digne de sa culture politique centriste, le Premier ministre y a porté l’esprit du compromis pour Thomas Legrand. Notre chroniqueur a vu ce discours comme l’expression d’une autre pratique de la démocratie «à rebours de la démagogie anti-partis politiques et du populisme en vogue partout dans le monde ces temps-ci». Cependant, ce qui aurait pu être la mise en pratique de cette vision, la réforme des retraites, déçoit notre journaliste.

Pour analyser avec vous cette déclaration de politique générale et en comprendre les conséquences, Libération vous invite à découvrir l’analyse de notre chroniqueur politique, Thomas Legrand, en vidéo.