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Pendant que le NFP tente de se mettre d’accord, d’ici la fin de la semaine, sur un nom de Premier ministre à proposer à Emmanuel Macron, le camp présidentiel joue la montre et semble vouloir s’accrocher au pouvoir. Arrivée troisième des européennes à 15% puis miraculeusement deuxième aux législatives après une dissolution décidée par le Président, la macronie n’est pas disposée à donner les clefs à la gauche, qui n’a certes pas de majorité (même relative) à l’Assemblée mais y est tout de même la première force.
Sur France Info lundi, l’ex-président du groupe Renaissance Sylvain Maillard a ainsi justifié le fait de ne pas nommer un chef de gouvernement NFP, quoi qu’il arrive : «Dans les semaines qui suivraient, le gouvernement serait renversé, ils ont moins de 200 députés. Et est-ce que la France