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François Bayrou entrevoit la fin de son ascension de «l’Himalaya». Ayant déjà survécu à quatre motions de censure dont trois sur le budget et celui de la Sécu (PLFSS), de plus en plus aisément d’ailleurs, il lui en reste encore une sur le PLFSS puis celle des socialistes en réaction à ses propos sur un supposé «sentiment de submersion» migratoire. Après ça, le Premier ministre pourra enfin se projeter sur la suite et tous les «sommets» législatifs que l’alpiniste de Matignon veut encore gravir. Car si certains, comme Edouard Philippe, prédisent des années sans réforme d’ampleur d’ici à la présidentielle, le Béarnais assure refuser l’immobilisme.

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