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Les conséquences des élections européennes ne seront-elles qu’européennes, comme le martèlent Emmanuel Macron et Gabriel Attal ? Ou l’implication à mort du couple exécutif dans la campagne continentale doit-elle entraîner des répercussions nationales, comme une alliance entre Renaissance et LR ? Bruno Le Maire a son idée. Le ministre de l’Economie a expliqué, selon le Canard enchaîné, pourquoi le camp présidentiel ne doit pas toper avec le parti d’Eric Ciotti. «Croire que l’alliance de deux perdants serait la solution, c’est une erreur», a-t-il développé, insistant : «Les Français auraient l’impression que, avec cette coalition des éclopés, on leur fait un bras d’honneur».
Une telle hypothèse a de toute façon du plomb dans l’aile avec la sortie mardi 4 juin de Gérard Larcher devant les sénateurs LR, assurant qu’il ne «souh