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Les élections internes passent, Sandrine Rousseau reste furibarde. Déjà très critique des deux congrès ayant élu puis maintenu Marine Tondelier à la tête des Ecologistes face aux listes qu’elle soutenait, la députée de Paris flingue ce jeudi 18 septembre, dans l’Opinion, les règles et conditions fixées par le parti pour la très hypothétique primaire de la gauche (à laquelle ni Jean-Luc Mélenchon, ni Raphaël Glucksmann ne participeraient) en vue de la présidentielle.
«Je ne participerai pas à cela pour une raison simple : c’est un processus de verrouillage pour une primaire qui n’existe même pas encore et dont nous ne connaissons pas les règles. C’est plus qu’une parodie de démocratie interne, c’est une mise sou