C’est un objet politique inédit et même, reconnaissons-le, un peu baroque. La Primaire populaire, dont le vote s’ouvre ce jeudi à 10 heures, ne manque pas de défauts mais il semble un peu hâtif de balayer du revers de la main ce processus auquel 467 000 personnes se sont inscrites pour désigner au jugement majoritaire «la candidature la plus apte à rassembler et faire gagner la justice sociale, l’écologie et la démocratie» lors de l’élection présidentielle du printemps prochain.
Edito
Pour dire les choses clairement, on aurait aimé qu’au-delà de Christiane Taubira, dont chacun anticipe désormais la victoire dimanche à 18 heures, la socialiste Anne Hidalgo et l’écologiste