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Confusionnisme et feu de tout bois, le philosophe chroniqueur Alain Finkielkraut mélange tout dans une tribune publiée par le Point le 2 avril, que l’on doit plus au chroniqueur idéologue qu’au philosophe torturé. Cela commence par le retournement, comme on le fait d’un jean que l’on met à la machine, de la célèbre phrase de Montesquieu qui définit l’Etat de droit comme tout ce qui protège le citoyen de l’arbitraire du pouvoir : «Pour qu’on ne puisse abuser du pouvoir, il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir.»
Cette citation revient naturelleme