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Côté pile : le Nouveau Front populaire est une telenovela qui étale ses rivalités fratricides et inimitiés personnelles en mille et un épisodes. Côté face : chacune dans leur coin, les différentes boutiques qui composent l’alliance de gauche bûchent sur le fond des sujets. Tout part logiquement de l’Assemblée nationale. Chez les socialistes, par exemple, le patron du groupe, Boris Vallaud, a demandé depuis le mois de juillet au député PS de Paris Emmanuel Grégoire de plancher sur «une feuille de route programmatique», pour permettre aux roses d’affirmer leur singularité au sein du NFP. «Les socialistes ont le devoir de travailler et d’être identifiés aussi à travers des idées fortes», confirme à Chez Pol l’ancien premier adjoint d’Anne Hidalgo, et candidat à sa succession, même si celle-ci a préféré adouber le sénateur PS de Paris Rémi Féraud.
Sans le savoir (véridique), les écologistes se sont lancés en parallèle dans une démarche identique. Le député vert d’Indre-et-Loire Ch