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Ceux qui ont été surpris, choqués, et déçus d’apprendre mercredi de la part du préfet de police de Paris Laurent Nuñez qu’un QR code serait nécessaire pour circuler dans certaines zones de la capitale pendant les JO n’ont pas été les seuls. Cela nous rappelle les plus belles heures de la crise sanitaire. Le sénateur centriste Loïc Hervé, membre de la commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) au nom de la Chambre haute en a visiblement éprouvé une vive colère et s’est fendu d’un coup de gueule dans l’hémicycle lors des questions au gouvernement. Il déplore notamment que les parlementaires n’aient pas été consultés en amont sur ce projet de dispositif. «Il paraît important quand on veut construire la confiance avec le pays, et que les JO font l’objet de critiques extrêmement vives, que le gouvernement se rappelle que c’est le Parlement qui vote la loi, et que celui qui contrôle votre action, c’est bien encore le Parlement», s’est indigné l’élu de Haute-Savoie, e