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Quand la Chine était une «dictature» pour Jean-Luc Mélenchon

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Les rapports sino-mélenchonistes reviennent sur le devant de la scène depuis que la députée Sophia Chikirou, intime du leader insoumis, a refusé de qualifier le pays de «dictature».

Jean-Luc Mélenchon, à la Fête de l'Humanité, le 13 septembre 2025. (Ian Langsdon/AFP)
Publié le 18/09/2025 à 11h00

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Les tribulations d’un lambertiste en Chine. Cela pourrait être le titre d’un chapitre de la biographie de Jean-Luc Mélenchon tant le leader insoumis a de liens avec l’Empire du Milieu. Les rapports sino-mélenchonistes reviennent sur le devant de la scène depuis que la députée Sophia Chikirou, intime de «JLM», a refusé de qualifier le pays de «dictature», en marge d’un colloque sur la Chine organisé à l’occasion des universités d’été de LFI et avec une enquête du Point cette semaine qui fait la une du magazine conservateur.

Les rapports entre Mélenchon et la Chine sont fluctuants, comme le rappelaient en 2018 les journalistes Lilian Alemagna et Stéphane Alliès dans leur livre Mélenchon, à la conquête du peuple – il n’est pas inutile ici de rappeler qu’Alemagna est notre chef adoré, ici à Libération. Le