Bruno Retailleau, a annoncé mardi 29 avril devant l’Assemblée nationale engager une procédure contradictoire en vue d’une éventuelle dissolution de la Jeune Garde. Un coup dur pour l’organisation créée en janvier 2018, à Lyon, dans l’espoir de «donner un nouveau souffle» au mouvement antifasciste dans la ville rhodanienne, où l’extrême droite radicale est très active. Le collectif a, depuis, développé des branches locales : à Strasbourg en 2019, à Paris en 2020 puis à Lille et Montpellier en 2021. Défenseurs d’une lutte plus inclusive, ses militants avancent à visage démasqué et se donnent une parole publique.
Une façon de s’échapper de ce que le groupe a désigné sur le site de gauche Rebellyon.info, dès sa création, comme une «subculture» qui a éloigné la lutte antifasciste de