Un groupe antifasciste dissout. Bruno Retailleau s’est «félicit[é]», ce jeudi 12 juin, de la dissolution de la Jeune Garde en conseil des ministres. La finalité de la procédure contradictoire engagée fin avril devant l’Assemblée nationale contre l’organisation lyonnaise, créée en janvier 2018 dans l’espoir de «donner un nouveau souffle» au mouvement antifasciste dans la ville rhodanienne, où l’extrême droite radicale est très active. Le collectif avait, depuis, développé des branches locales : à Strasbourg en 2019, à Paris en 2020 puis à Lille et Montpellier en 2021. Défenseurs d’une lutte plus inclusive, ses militants avançaient à visage démasqué et se donnaient une parole publique.
Une façon de s’échapper de ce que le groupe a désigné sur le site de gauche Rebellyon.info, dès sa cré