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Analyse

Pas de standing ovation dans le camp Macron après la reconnaissance de la Palestine par la France

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Dans le camp présidentiel, les réactions sont restées mesurées face au discours du Président à la tribune de l’ONU, lundi 22 septembre.

Emmanuel Macron, à la tribune de l’ONU, a reconnu, au nom de la France, l’Etat de Palestine, lundi 22 septembre. (Ludovic Mar/AFP)
Publié le 23/09/2025 à 13h00

On a connu plus enthousiaste. Autrefois, prompt à applaudir les faits et gestes présidentiels, le bloc central est resté relativement coi lundi 22 septembre, quand Emmanuel Macron, à la tribune de l’ONU, a reconnu, au nom de la France, l’Etat de Palestine alors que la gauche a salué son initiative. On ne peut pas être sur toutes les balles. Dans la soirée, c’est Ousmane Dembélé, sacré ballon d’or, que préférait congratuler, sur X, Gabriel Attal, chef des députés Renaissance. «Le premier d’entre eux préfère parler foot. Vu les commentaires sous le tweet je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée», ironise un proche du Président. Dimanche à Arras, Attal, surtout soucieux de tou