Les images de l’«intervention» aussi musclée qu’illégale de cet influenceur d’extrême droite et des videurs de sa boîte de nuit de Rennes avaient fait le tour du web. Et déclenché un scandale au point qu’une enquête a été ouverte et que l’établissement, le 1988 Live club, a été contraint de fermer ses portes. Cela n’avait pas empêché Yovan Delourme, dit Le Jarl, de continuer à courir les médias, bollorisés ou non, mais surtout de la fachosphère, pour clamer sa version des faits et… poursuivre la promo de son livre. Selon Ouest-France, son licenciement était devenu «inévitable». C’est désormais chose faite, annonce vendredi 28 mars le quotidien régional.
Rembobinons. Dans la nuit du samedi 8 au dimanche 9 mars, des jeunes fêtards avaient investi sans autorisation un cinéma désaffecté pour une «free party» organisée pour prolonger de manière festive la mob