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Pas de «fichage» mais une simple «évaluation du taux d’absentéisme constaté à l’occasion de l’Aïd el-Fitr». Telle est la ligne de défense du gouvernement, accusé d’avoir voulu relever les absences à l’école d’élèves musulmans à l’occasion de l’Aïd, la fête qui marque la fin du Ramadan. Certaines académies ont reçu l’instruction de recenser les manquants. Mais le «ministère de l’Intérieur et des Outre-mer étudie régulièrement l’impact de certaines fêtes religieuses sur le fonctionnement des services publics, et notamment au sein de la sphère scolaire», assure Sonia Backès, secrétaire d’Etat chargée de la Citoyenneté, dans un communiqué.
Appui de Marine Le Pen
Sur France Info ce matin, sa collègue Sarah El Haïry reprend le même narratif. La secrétaire d’Etat à la Jeunesse défend le gouvernement de tout «fichage» car c’est, selon le récital de l’exécutif, seulement le taux d’absentéisme qui est évalué, sans auc