«Séjour de rêve en amoureux», «charmante escapade avec dîner gourmand», «frissons et parachute», «détente absolue»… Ces belles promesses offertes tous frais payés lors de mariages ou d’anniversaires seraient-elles en train de devenir de sacrés boulets pour Pierre-Edouard Stérin ? Les fameux coffrets cadeaux Smartbox, cœur du business du milliardaire d’extrême droite qui entend peser sur la prochaine présidentielle, n’ont en tout cas plus rien de la petite pépite du temps de leur gloire.
Même l’entrelacs de sociétés commerciales, véhicules d’investissement et filiales qui composent le groupe de cet entrepreneur catho, délocalisé en Belgique depuis 2012 pour raisons fiscales