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Soupçon d’emploi fictif: Fabien Roussel ne creuse pas le Fillon habituel

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Pour sa défense, le communiste a refusé de s’en prendre à «Mediapart» après leurs révélations et répondu sur le fond, démontrant qu’on peut être candidat à la présidentielle et visé par une affaire sans user des pires arguments en la matière.
Au lendemain des révélations de «Mediapart», le candidat PCF à la présidentielle a réagi ce lundi sur Europe 1 en assurant de la réalité de son travail d'assistant parlementaire, sans toutefois fournir les documents qui l'attestent. (Lionel Bonaventure/AFP)
publié le 21 février 2022 à 12h05

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Ce lundi sur Europe 1, Fabien Roussel a fait la démonstration qu’il est possible d’être candidat à une élection (présidentielle qui plus est) et visé par des révélations de presse sur une «affaire» (en l’occurrence un soupçon d’emploi fictif d’assistant parlementaire), sans pour autant se défendre en utilisant les arguments et registres les plus tristement célèbres en pareil cas : «cabale» menée par des ennemis politiques, complotisme et «tribunal médiatique», populisme et «système» qui chercherait à se débarrasser d’un «candidat qui dérange», etc., etc.

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