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Roses de honte
C’est un strike : la suspension de la réforme des retraites et son corollaire de la non-censure parviennent à diviser aussi bien les macronistes que LR (on en parle ci-dessous) et même… le PS. Chez les roses, certains ont bien du mal à se résoudre à ne pas abaisser le pouce contre Lecornu. Mais si la plupart des députés socialistes se rangeront à la ligne actée en bureau politique puis en réunion de groupe, il en est au moins un qui fera de la résistance. «Le compte n’y est pas. Jeudi, je censure», a annoncé Paul Christophle tard mardi soir, après y avoir donc bien réfléchi. La poignée de ses collègues très pro-censure, qui avaient voté, comme lui, la première motion contre François Bayrou malgré la consigne, suivront-ils Christo