Menu
Libération
Chez Pol

Sur la route de la présidentielle 2027, la droite va devoir covoiturer

Article réservé aux abonnés
Sur une voie de circulation déjà embouteillée, Michel Barnier et Valérie Pécresse pourraient ajouter du trafic sur l’autoroute de la présidentielle.
L'ancien Premier ministre, Michel Barnier, avec l'ancien ministre de l'Intérieur socialiste Matthias Fekl, au siège des Brasseurs de France, à Paris le 26 février 2025. (Daniel Perron/Hans Lucas. AFP)
publié le 10 mars 2025 à 11h47

Extrait de Chez Pol, notre newsletter politique réservée à nos abonnés : découvrez-la gratuitement.

On parle souvent de la désunion-réunion-redésunion de la gauche. Et c’est vrai qu’il y a de quoi dire. Mais et la droite, alors ? Car de ce côté-là de l’échiquier, la ligne de départ pour 2027 est encore plus encombrée qu’une rocade aux heures de pointe à cause de la haine des automobilistes qui noircit le cœur des maires écolos-bobos. Encore dimanche 9 mars et ce lundi, on recevait confirmation des ambitions plus ou moins assumées de deux potentielles têtes d’affiche, en plus des prétendants déjà déclarés ou presque.

La Tribune dimanche nous donnait ainsi des nouvelles de Michel Barnier (avouez, il vous manque un peu non ?), qui réunit chaque mois une dizaine de députés du «socle commun». L’ex-Premier ministre veut capitaliser sur son legs qu’est cette alliance entre LR et le camp présidentiel née avec son arrivée à Matignon. Mardi, devant ces élus, le Savoyard a de nouveau estimé qu