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Elisabeth Borne a-t-elle agi seule ou en coordination avec Matignon et l’Elysée ? La ministre de l’Education nationale a ouvert la porte, mardi 7 octobre au soir dans le Parisien, à une «suspension» de sa propre réforme des retraites pour créer les conditions d’un accord avec le PS, à 24 heures de la fin des ultimes négos de Sébastien Lecornu. «Le Premier ministre est libre de mener les négociations», répond laconiquement l’entourage d’Emmanuel Macron à Chez Pol, sous-entendant que l’impulsion vient au moins en partie du chef du gouvernement - et que le Président ne s’oppose plus frontalement à la remise en cause de cet élément majeur de son bilan, totem intouchable jusqu’ici. De son côté, Matignon ne nous a pas répondu.
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