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Un peu de câlinothérapie et surtout pas de caporalisation. En recevant, durant deux heures et demie à l’Elysée jeudi 16 octobre, «une vingtaine de députés» et cadres macronistes «de diverses extractions territoriales et sensibilités» (dixit son entourage), Emmanuel Macron a voulu apaiser les tensions dans son camp, causées par le renoncement sur la réforme des retraites permettant la non-censure de Sébastien Lecornu, concrétisée le matin même.
Explications
Après avoir convenu du caractère «douloureux pour nous tous» de la suspension de la réforme (et fait valoir que cette dernière avait été un «combat juste et qui le reste»), le Président a tout de même rappelé la nécessité de ce compromis avec le PS. «Il nous a dit que c’était assumé, que c’était la condition d’un deal et que la stabilité du pays était primordiale», rapporte un participant.
«On n’a pas débattu de notre position de groupe»
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