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Urgent d'attendre

Un groupe dissident ? «L’aile gauche» de la macronie temporise mais place l’exécutif sous surveillance

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Les marcheurs de la «sensibilité» de gauche, ulcérés par la loi immigration et la droitisation du gouvernement, attendent de voir la politique menée par Gabriel Attal mais n’excluent pas de créer un groupe à part à terme.
La séance de questions au gouvernement du 16 janvier 2024 à l'Assemblée nationale. (Albert Facelly/Libération)
publié le 19 janvier 2024 à 12h07

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Quid de l’éventualité d’un groupe dissident de Renaissance à l’Assemblée, créé par «l’aile gauche» ? Cette «hypothèse réelle», telle que nous la présentait il y a une semaine un député horrifié par le remaniement, s’éloigne sensiblement, du moins pour l’instant.

Selon nos infos, les conjurés – qui refusent l’étiquette de «frondeurs» ou de «dissidents» – se sont vus ce mardi pour en discuter. Une vingtaine de députés participaient à la réunion, mais «une quarantaine» d’élus serait plus largement dans la boucle. Il a notamment été décidé de ne pas trop parler de tout ça à la presse, mais surtout de temporiser en attendant la suite du remaniement et