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«Je ne vois pas l’intérêt d’une commission parlementaire uniquement consacrée aux métiers du cinéma ou artistiques, c’est-à-dire aux violences sexuelles les plus médiatisées et les plus dénoncées. Et je ne crois pas à la possibilité d’un débat subtil dans une commission présidée par Sandrine Rousseau. Il serait plus intéressant de l’auditionner elle, dans le cadre d’une commission d’enquête sur les violences sexuelles au sein du monde politique, et la façon dont elles sont parfois instrumentalisées à des fins plus politiques que féministes.»
Fustiger les dérives de la libération de la parole
Voilà ce que nous répond par texto Caroline Fourest, quand on lui demande de confirmer son refus de se soumettre à une audition de la commission d’enquête sur les violences sexistes et sexuelles dans l’audiovisuel, le spectacle vivant, la mode, et la publicité. Voulue par