Pour appuyer les amendements qu’ils proposent, les députés aiment à citer ou s’inspirer des travaux d’institutions publiques, en particulier la Cour des comptes, mais aussi de chercheurs, d’associations ou de think tanks. Il n’est donc pas étonnant de voir mentionnés de nombreux économistes dans les 1 710 amendements au projet de loi de finances (PLF) 2026, dont l’examen commence en commission des finances de l’Assemblée ce lundi 20 octobre. Mais l’un d’entre eux se détache clairement : Gabriel Zucman.
Le chercheur, dont le projet de taxe sur les très hauts patrimoines est devenu l’horizon des partisans de la «justice fiscale», est cité dans pas moins de treize amendements, souvent pour rappeler leur soutien à cette taxe,