nMénages aisés : réforme de l’impôt sur le revenu (14 tranches, dont une à 90%), TVA grand luxe… (28 milliards d’impôts en plus au total). nAutres ménages : hausse de 16% du smic et de 7% du salaire des fonctionnaires, hausse des minimas sociaux… (80 milliards de nouvelles prestations en tout). nEntreprises : baisse à 25% de l’impôt sur les sociétés, hausse de cotisations… (4,2 milliards de hausse au total).
nMénages aisés : statu quo. nMénages : création du revenu universel jusqu’à 2 800 euros brut (35 milliards), hausse des minimas sociaux (6,7 milliards), impôt unique sur le patrimoine net, soit 42 milliards de baisse d’impôts ou de nouvelles prestations au total.nEntreprises : taxe sur les super- profits des banques (5 milliards), division par deux du CICE (10 milliards), soit 15 milliards de nouveaux prélèvements.
nMénages aisés : recentrage de l’ISF sur l’immobilier, prélèvement à 30 % sur les revenus mobiliers, soit 4 milliards par an de baisse d’impôts au total. nAutres ménages : hausse de la prime d’activité, baisse de cotisations, exonérations sociales sur les heures sup, quasi-supression de la taxe d’habitation, soit 16,6 milliards de baisse d’impôts en tout. nEntreprises : baisse de l’IS à 25%, soit 10 milliards en moins.
nMénages aisés : suppression de l’ISF, hausse du plafond du quotient familial, baisse des droits de donations… Soit 9,5 milliards de baisse d’impôts en tout. nAutres ménages : baisse de cotisations (7,7 milliards), hausse des petites retraites (2,2 milliards), hausse de la TVA (10 milliards), soit un niveau de taxation neutre. nEntreprises : baisse de cotisations et baisse de l’IS à 25 %, soit 35 milliards en moins au total.
nMénages aisés : universalité des allocations, hausse du quotient familial, soit 2,3 milliards de baisse d’impôt. nAutres ménages : défiscalisation des heures sup, réforme de l’impôt sur le revenu, prime de pouvoir d’achat, retraite à 60 ans… Soit 43 milliards de baisse d’impôts ou de hausse de prestations. nEntreprises : baisse à 24 % de l’IS pour les PME, taxe sur l’emploi d’étrangers, soit 3,5 milliards de baisse nette.