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Quand le rock'n'roll (dé)bande

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Dans «Sex & Sex & Rock & Roll», Vincent Brunner raconte les aventures tragi-comiques des stars du rock.
Dessin de Luz, extrait de «Sex & Sex & Rock & Roll», Flammarion.
publié le 24 septembre 2013 à 10h17

Le sexe est rock'n'roll et le rock'n'roll n'est que sexe. Partant de ce principe, le journaliste musical Vincent Brunner publie chez Flammarion Sex & Sex & Rock & Roll, le dictionnaire du rock'n'roll ouvertement sexuel. Dans cet ouvrage agréablement illustré par Luz, le dessinateur de Charlie Hebdo, l'auteur passe en revue, de AC/DC à ZZ Top,  les plus belles et pires histoires sexuelles associées à cette musique, des années 50 à aujourd'hui.

Classés par thème (masturbation, requin, etc.), artistes, groupes et groupies (et leurs trophées), les différentes entrées multiplient les récits plus ou moins certains. Car, c'est bien connu, dans le rock'n'roll, les rumeurs et légendes font partie intégrante du jeu. Parmi toutes ces histoires, certaines mettent à mal la virilité éclatante et revendiquée par la plupart des stars. Les anecdotes ci-dessous, tirées du dictionnaire, nous rappellent qu'il n'y a pas que les 4 000 conquêtes de Mick Jagger dans la vie du rock'n'roll mais aussi des pénis qui débandent, des bides qui débordent et de l'urine qui dégouline.

Jim Morrison bandait mou

Si Jim Morrison aimait inviter les fans à «allumer son feu», il avait une fâcheuse tendance à trop boire. La plupart de ses nuits, il les terminait seul après s'être enfilé trop de barbituriques et de vodka. Janis Joplin lui fracassa un jour une bouteille de whisky sur la gueule car il était trop pressant et sa dernière maîtresse, Pamela, raconta qu'il ne bandait plus.

Elvis Presley embrassait mal

Quelle déception pour T