En accord avec le commandant Jean-Paul Le Coz, nous publions le droit de réponse qu'il a adressé le 21 février 2000:
"Le 12 décembre 1990, la cour d'appel de Rennes m'a relaxé purement et simplement et non pas au bénéfice du doute. La motivation de l'arrêt à l'appui de cette relaxe était: "... il apparaît que les victimes, personnel particulièrement compétent du navire, s'agissant du capitaine en second de l'officier gaziste, sont descendues dans la cuve avant que celle-ci ait été ventilée, contrairement aux prescriptions de Jean-Paul Le Coz..."
Le pourvoi en cassation formé par les parties civiles à l'encontre de cet arrêt a été rejeté par arrêt du 19 mars 1992. Ainsi, la référence des anciennes procédures n'est pas conforme à la réalité.
Quant aux propos attribués à madame Marie-Pierre Pezet, ils sont totalement inexacts. Après l'accident, j'ai rendu visite à madame Richardeau le vendredi 18 juin 1999 pour lui faire part des recherches aériennes et navales conduites dans le golfe du Bengale depuis le 10 juin 1999.
Il n'a jamais été question ni de récupérer quelque document que ce soit, dont on ne voit pas très bien d'ailleurs en quoi il consisterait, ni de dissuader quiconque de déposer plainte, et l'entretien avec madame Richardeau a été extrêmement amène.
Là encore, l'information fournie par la plaignante ou en son nom n'est pas conforme à la réalité.
J'ai été entendu par la police judiciaire en qualité de témoin et souhaite participer totalement à la manifestation de la vérit