Sans grâce présidentielle, les matons craignent la surchauffe

Article réservé aux abonnés
Depuis que Rachida Dati a annoncé que le champ des grâces présidentielles serait «extrêmement réduit» cette année, le personnel des établissements pénitentiaires, surpeuplés, craint une montée des tensions.
publié le 3 juillet 2007 à 7h00

Les plus lus