Enfants morts-nés: «Une petite avancée qui risque d'avoir de lourdes conséquences»

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Serge Hefez, psychiatre et thérapeute familial, craint que les organisations anti-IVG ne s'engouffrent dans la brèche ouverte par la décision de la Cour de cassation qui reconnaît un état civil aux fœtus morts in utero.
publié le 7 février 2008 à 7h00

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