«Cela risque plutôt d'accabler les élèves»

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Claire Meljac, psychologue à l'unité de psycho-pathologie de l'enfant et de l'adolescent à l'Hôpital Sainte-Anne, estime que les élèves de CM2 ne sont pas suffisamment préparés à se voir confier la mémoire d'un enfant déporté.
publié le 14 février 2008 à 7h00

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