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Week-end calme pour Johnny, mais agité pour son médecin

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Show-biz . Alors que les nouvelles de la star se voulaient rassurantes, le docteur Delajoux dit avoir été agressé vendredi par deux personnes.
publié le 14 décembre 2009 à 0h00

Décidément, ça n'est pas sa semaine, au docteur Delajoux. Non content de traîner une sulfureuse réputation - procès de patients, fraude à l'assurance (Libération de samedi) - et d'être accusé par l'entourage de Johnny de l'avoir «massacré», le chirurgien dit avoir été agressé vendredi en bas de chez son ex-femme. Où il fêtait ses 43 ans avec ses enfants.

En redescendant vers 22 h 45, le docteur Delajoux fait au revoir à ses enfants qui le saluent du balcon quand une voix l'interpelle. Il se serait retourné et aurait été agressé par «deux individus cagoulés […], très violemment mais sans armes», selon l'un de ses avocats sur France Info samedi. Le docteur Delajoux serait parvenu à arracher la cagoule (où de l'ADN devrait être recherché) d'un de ses agresseurs, chauve. Puis le médecin s'en est allé porter plainte au commissariat du XVIIe arrondissement et est rentré chez lui sans aller à l'hôpital.

Il ira le lendemain à l'Hôtel-Dieu après le déjeuner et un passage à la clinique Monceau, où les photographes et les télés auront loisir de le saisir, visage grave, bras en écharpe et œil légèrement poché. Aucune mention de Johnny Hallyday n'a été faite par les agresseurs, selon la version des avocats du médecin, mais «cette agression doit faire cesser cette chasse à l'homme», a déclaré Me Hervé Témime, réclamant «de la tenue» à toutes les personnes qui s'expriment publiquement. Pour lui, le chirurgien est stigmatisé d