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Bordelais ivres de Chine

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L’un a vendu son exploitation à un investisseur du NingXia, d’autres déclinent leur catalogue en chinois. Les vignerons de Bordeaux ont trouvé à l’autre bout du monde un débouché inespéré pour pallier le marasme du marché français.
publié le 2 mars 2012 à 0h00

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