Pilules : les gynécos se défendent d'être «achetés» par les labos

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Dans un manifeste, 1 300 gynécologues assurent travailler en toute transparence et démentent les accusations de proximité excessive avec les laboratoires dans l'affaire des pilules dernière génération.

publié le 22 janvier 2013 à 14h56

Pilules : les gynécos se défendent d'être «achetés» par les labos

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