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Enquête

Pour vos questions sur la pilule, qui est au bout du fil ?

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Faut-il avoir peur de la pilule ?dossier
Alors que les interrogations montent sur les pilules contraceptives, Libération passe au banc d'essai les lignes téléphoniques, publiques ou privées, mises en place pour répondre.
Les pilules contraceptives de 3e et 4e génération sont prises par 2,5 millions de femmes en France. (Photo Christophe Maout pour Libération)
publié le 9 février 2013 à 9h03

Ma pilule est-elle de 3e ou 4e génération ? Quels sont les risques ? Le stérilet, c'est sans danger, vraiment ? Je prends Diane 35 (1) depuis dix ans, que dois-je faire ? Autant de questions que des femmes de tout âge se posent ces jours-ci sur ce petit comprimé qu'elles avalaient jusque-là sans trop réfléchir. Pour calmer l'inquiétude ambiante, après le dépôt de quatorze plaintes et le retrait du marché de Diane 35, le ministère de la Santé a ouvert une ligne téléphonique de crise. Une semaine avant, un numéro Azur était apparu dans la presse, présenté comme une «initiative privée» d'une entreprise de Meurthe-et-Moselle. Les lignes «info contraception IVG» du Planning familial sonnent aussi beaucoup depuis quelques semaines. Qui répond ? Libération.fr a décroché son téléphone...

La ligne ministérielle0800 636 636 numéro vert (gratuit d’un fixe comme d’un mobile). Du lundi au samedi, 9h-20h.

Qui est derrière ? C'est une société privée, Acticall, spécialisée dans la relation client. Ils ont 6 000 conseillers téléphoniques qui gèrent entre autres les services clientèle et l'assistance en ligne de tout un tas d'entreprises et d'institutionnels. Dans le lot: Canal +, EDF, Orange, Total, IdTGV... et le ministère de la Sant