27 février 2014. Le Point accuse Copé d'avoir utilisé l'argent du parti pour sponsoriser Bygmalion, agence fondée par deux de ses amis. Selon l'hebdomadaire, «lors des meetings, les frais de traiteur, de retransmission vidéo et d'éclairage atteignaient parfois le double des tarifs habituels». Jean-François Copé conteste avec véhémence ces accusations.
3 mars. Copé annonce la mise sous scellés des comptes de l'UMP, et ne les ouvrira que si d'autres partis le font. Il dénonce certains médias aux «méthodes dignes de l'Inquisition» et son «lynchage public». Il exige la transparence financière de tous les partis et de la presse.
5 mars. Le parquet de Paris ouvre une enquête préliminaire pour faux, abus de confiance et de biens sociaux.
14 mai. Libération révèle que la plupart des événements facturés par la société n'ont laissé de trace ni dans les médias ni dans la mémoire des responsables UMP censés les avoir organisés. Selon nos informations, entre janvier et juin 2012, le parti aurai