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Libération
31 raisons de sauver 2014 (19)

L'année où Nabilla s'est fait un nom (de famille)

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Pendant tout le mois de décembre, retour sur les quelques bons moments de l'année écoulée.
Star de la téléréalité faisant un selfie (mise en abyme), mai 2014. (Photo Loic Venance. AFP)
publié le 19 décembre 2014 à 7h00

Elles n’ont pas été si nombreuses, les raisons de se réjouir lors de l’année écoulée. Alors nous avons choisi de les surligner à l’occasion du bilan. Pendant tout le mois de décembre, retour sur 31 raisons de sauver 2014 du marasme (oui, un calendrier de l’Avent court en principe jusqu’à Noël, mais on n’allait pas s’arrêter si tôt). Aujourd’hui, une star de téléréalité qui change de rubrique.

C’est l’histoire d’une chute. D’un destin qui bascule. Un conte de fées qui part en vrille. On l’a appris par une alerte du

Figaro

, jeudi 6 novembre à 7 heures du mat, entre un push sur

les valises de billets de Serge Dassault

les chiffres du chômage et un sondage pour ou contre la burqa sur les plages.

«L’ex-star de la télé-réalité Nabilla est en garde à vue après avoir poignardé son compagnon»

(

).

Soyons honnête, à Libé on a pris l'annonce avec une certaine nonchalance. La raison est simple : avant l'alerte du Figaro, certains journalistes de la rédaction ignoraient jusqu'à l'existence de Nabilla. Tout le monde n'a pas la télé, en tous cas pas les bonnes chaînes. On s'est donc rapproché de Rachid Laïreche, qui a tiré le portrait de la jeune femme en der du journal. C'était en mai, un peu avant celui de Kader Arif (parti trop