Dans un texte intime, l’écrivaine et psychanalyste raconte comment elle s’est pourrie la vie pour des questions d’apparences. Et propose une solution : remplacer cette obsession par une autre.

Emmanuel Macron joue la partition de la masculinité hégémonique, celle qui ne supporte pas la frustration et légitime sa pulsion de la dissolution.

Pourquoi vouloir décrédibiliser celles et ceux qui rendent leur dignité aux victimes invisibles ? Si nous avons pris le risque de sortir du silence, c’est pour saisir l’occasion historique de mettre en lumière ce combat.

Porté par des activistes de huit pays, un texte propose de rendre l’IVG accessible dans toute l’UE. Une mobilisation citoyenne contre les forces conservatrices du continent, où plus de 20 millions de femmes n’ont pas accès à l’avortement.

L’association créée par Gisèle Halimi «Choisir la cause des femmes» a mis en regard les législations européennes les plus progressistes pour dessiner une cartographie idéale.

Dans un entretien fleuve accordé au magazine d’extrême droite, l’actrice réitère son soutien à Roman Polanski. Non contente de défendre «l’honneur du réalisateur», elle alimente le stigmate associé au mot «victime».

Il ne fait pas bon d’être une femme et de gauche pour se porter candidate à l’institution du quai Conti. La sociologue et philosophe Dominique Méda, doublement recalée, en a fait l’amère expérience.

A l’approche des Jeux de Paris, la société américaine a lancé une poupée à l’effigie de la boxeuse française Estelle Mossely et de huit autres sportives. Du marketing rondement mené pour Mattel.

Le souverain pontife aurait proféré cette remarque sexiste au cours d’une réunion privée avec plusieurs dizaines de prêtres du diocèse de Rome, a rapporté jeudi 30 mai le média italien «Silere Non Possum».

Le ministère de la Santé annonce ce vendredi 31 mai une série de mesures pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles dans le monde hospitalier.

Thi Nhu An Pham, créatrice du podcast «La Reprise», déplore une «maternophobie» prégnante qui continue de marquer les milieux professionnels, notamment les professions libérales.

Dans un village niché entre l’Occitanie et l’Auvergne, un lieu accueille les LGBT+ éprouvés par les injonctions à rejoindre la norme et porté par les valeurs du féminisme intersectionnel.

Une enquête de «Libération» montre qu’aujourd’hui encore, au sein des cabinets, être enceinte est souvent considéré comme une tare valant mise au placard, harcèlement voire licenciement. Une situation insupportable qui s'améliore lentement.

Chloé Thibaud décrypte à travers des films cultes la manière dont la pop culture raconte des histoires dans lesquelles le genre féminin est représenté comme dominé par le genre masculin.

Alors que l’annonce d’une grossesse dans une profession non soumise aux règles du salariat continue de briser des carrières, «Libération» a rencontré quatre femmes qui ont poursuivi leurs pairs pour obtenir réparation.

Des manifestants se sont réunis mercredi 29 mai près du ministère de la Santé, où une délégation a finalement été reçue, pour réclamer des «mesures concrètes» contre les violences sexistes et sexuelles dans le milieu médical.

A l’image de l’US Orléans, les équipes de femmes sont trop souvent perçues comme une variable d’ajustement au niveau local. A quand des assises du sport féminin ? interpelle Fanny Pidoux, ancienne joueuse de basket.

Face au manque de places d’hébergement d’urgence et à la difficulté pour les victimes de violences conjugales de quitter le foyer, un dispositif mis en place par l’Etat, Paris Habitat et l’association Esperem aide à leur prise en charge.

Dans une publication Instagram, la comédienne a évoqué des coups subis à l’époque où elle était enceinte et en couple avec l’acteur. Elle s’en est ensuite expliquée dans un article du «Monde» ce mardi 28 mai.

Karla Sofía Gascón a reçu le prix d’interprétation féminine avec les autres actrices d’«Emilia Perez», provoquant la réaction outrée de la vice-présidente de Reconquête. Preuve que l’extrême droite est incapable de vivre avec son temps.

Dans un pastiche de roman-photo, les écrivaines et artistes Ovidie et Sophie-Marie Larrouy content les histoires de Jean-Michel déconstruit aux prises avec des princesses rebelles !

Au-delà d’une évolution égalitariste à l’œuvre depuis quarante ans au sein des entreprises et de la société, une enquête de l’Ifop souligne l’émergence d’un fossé de genre chez les plus jeunes.

L’idée mensongère que les violences sexuelles profiteraient financièrement de leur prise de parole circule encore largement. Pour l’autrice Virginie Cresci, ce cliché est véhiculé par la culture du viol.

Il a suffi d’une vidéo postée sur X dans laquelle le réalisateur Benoît Jacquot s’exprime de façon abjecte sur sa relation avec l’actrice pour que celle-ci cesse de trembler et sorte de son silence.

En quelques mois, l’actrice a pris la tête du mouvement #MeToo dans le cinéma et ­au-delà, avec sa fougue, ses réseaux, ses ombres et ses lumières. De la comédienne revenante à la militante puissante, récit d’une mue féministe et politique.

La loi nouvellement adoptée prévoit l’intervention du Contrôle du bien-être au travail – à la demande des travailleurs du sexe salariés ou de leur employeur - en cas de refus répété de relations sur une période de six mois.

Dans une enquête publiée par le «Guardian», le célèbre prestidigitateur est mis en cause par plusieurs femmes, dont certaines étaient mineures au moment des faits. Les avocats de David Copperfield démentent les faits.

Trois femmes sont mortes et une autre a été blessée dans l’incendie criminel de l’appartement qu’elles partageaient à Buenos Aires. Un voisin qui les harcelait a été arrêté.

Invité de la matinale de France Inter lundi 13 mai, Vincent Lindon souhaite une «feuille de route» pour être un meilleur féministe. La voici.

Le tribunal judiciaire de Paris a relaxé le cinéaste, accusé de diffamation par l’actrice Charlotte Lewis. Dans un entretien à Paris Match, il balayait l’accusation de viol portée contre lui.

La Fondation des femmes, #Metoomédia et l’actrice Anna Mouglalis publient une pétition dans «le Monde», ce mardi 14 mai, jour de l’ouverture du Festival de Cannes.

Historiquement, les combats cannois visaient le monde extérieur. Cette année, c’est le milieu du cinéma lui-même qui est rattrapé par la révolte des travailleurs précaires et les scandales de violences sexuelles.

Des collectifs de cinéma, producteurs, associations d’actrices se mobilisent ce lundi 13 mai pour exhorter à nouveau le président du Centre national du cinéma à quitter ses fonctions. Il est accusé d’agression sexuelle sur son filleul.

La présidente de l’évènement, Iris Knobloch, assure ce jeudi 9 mai «suivre la situation de près» face aux rumeurs sur la possible publication d’accusations de violences sexuelles visant des acteurs en compétition à Cannes.

Le 23 avril, le Parlement européen a adopté une directive qui inclut «l’exploitation de la GPA» - et non la GPA elle-même - dans la liste des crimes de traite des êtres humains.

Lors d’un entretien accordé au magazine « Elle » ce mercredi 8 mai, le président réaffirme son opposition à la GPA, détaille son plan contre l’infertilité et se targue d’être intraitable sur les violences faites aux femmes.

Le film de l’actrice et réalisatrice, fer de lance de la lutte contre les violences sexistes et sexuelles dans le cinéma français, sera présenté le 15 mai, lors de la 77e édition du Festival.

L’Union européenne a adopté ce mardi 7 mai la première législation européenne destinée à combattre les violences à l’égard des femmes. Ce texte exclut cependant le viol, faute d’accord sur une définition commune.

L’esprit carabin ne peut servir d’excuse aux agissements sexistes, au harcèlement, à l’agression sexuelle, dénonce un collectif de soignantes.

L’animatrice et ex-mannequin dévoile dans son autobiographie avoir subi une «tentative de viol», estimant ce vendredi 3 mai qu’il y a un «prédateur en liberté».