«L’histoire se passe en 2005. Je suis à l’époque directrice générale adjointe d’une filiale de TF1 et M6, TPS, chargée de la marque, de la communication et des régies. Dans ce cadre, j’organise beaucoup d’événements, notamment lors du festival de Cannes, où nous montons des plateaux pour accueillir les comédiens des films présentés. Cette année-là, PPDA vient au festival, il déjeune sur l’espace TPS, nous avons une conversation strictement professionnelle.
«De retour à Paris, à une date que je ne sais préciser exactement, je reçois un coup de fil de son assistante : “Patrick demande si vous avez déjà assisté à un journal en direct.” La question me surprend, car elle n’a aucun lien direct avec mon activité. Je ne sais rien de la réputation de Patrick Poivre d’Arvor à l’époque, mais j’élude. “Patrick serait heureux de vous inviter à son JT”, insiste son assistante. Il aurait été impoli de refuser, j’accepte donc. Nous prenons date. Mais cela ne fait tellement pas partie de