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Interview

Fiona Texeire, de #MeTooPolitique: «L’affaire Abad pose la question d’une institutionnalisation des signalements»

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Cofondatrice de l’Observatoire des violences sexuelles et sexistes en politique et collaboratrice d’élus, la co-autrice du podcast «Y’a pas mort d’homme» plaide pour une meilleure coordination entre les institutions politiques du traitement des témoignages de violences sexistes et sexuelles.
Paris le 23 mai 2022. Premier conseil des ministres du gouvernement d’Elisabeth Borne au palais de l’Elysée. Damien Abad, ministre des solidarités, de l'autonomie et des personnes handicapées, Pap Ndiaye, ministre de l’Éducation nationale, Gerald Darmanin, ministre de l'intérieur, Elisabeth Borne, première ministre, Eric Dupond-Moretti, garde des sceaux, ministre de la justice. (Albert Facelly/Libération)
publié le 24 mai 2022 à 7h00

Collaboratrice d’élus, à l’initiative du mouvement #MeTooPolitique, co-autrice du podcast «Y’a pas mort d’homme» et cofondatrice de l’Observatoire des violences sexuelles et sexistes en politique, Fiona Texeire plaide pour un élargissement des prérogatives de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) afin de centraliser les signalements pour violences sexistes et sexuelles.

Depuis le lancement de #MeTooPolitique, à l’automne, il y a eu l’affaire Hulot, l’affaire Bouhafs,