Raphaël Quenard va publier son premier roman : en soi, l’info est intrigante, attrayante même. Depuis cinq ans, l’acteur isérois opère une montée en puissance bienvenue dans le cinéma français, qu’il pimente de sa présence à la fois intense, marrante et déroutante, entre benêt et barré, à gifler et flippant, c’est excitant. Il est carrément magique dans Yannick et Chien de la casse, et le voir en Johnny (Hallyday, dans un biopic réalisé par Cédric Jimenez) fait d’ores et déjà partie de notre to-do list de 2027. La personnalité qu’il donne à voir hors écrans contribue à l’intérêt, électron libre et allumé, parfois touchant, parfois gênant, qui semble pour l’heure échapper à tout formatage quand bien même habillé en Dior dont il a rejoint la cohorte des «ambassadeurs». Quenard pourrait tout bonnement veni
Le billet de Sabrina Champenois
Pourquoi je ne lirai pas le livre sur un serial killer de Raphaël Quenard
Article réservé aux abonnés
Raphaël Quenard à la 50e cérémonie des César, à L'Olympia le 28 février. (Pascal Le Segretain /Getty Images. AFP)
publié le 24 mars 2025 à 16h17
Dans la même rubrique