A Rosny-sous-Bois, Murielle Magellan et Cécile Ladjali, l’une juive arabe, l’autre irano-kabyle, sont intervenues auprès d’élèves pour dialoguer autour de la question d’identité, encore plus importante à l’heure du conflit Israël-Hamas.

En marge d’une conférence de presse sur l’édition 2024 de l’examen de fin de scolarité, le ministère de l’Education nationale a rappelé que les candidats les plus jeunes ont plutôt «12 ou 13 ans».

Les professeurs du collège Alexandre-Dumas alertent sur la présence du matériau cancérigène dans plusieurs endroits de l’établissement. L’académie temporise et met en cause la validité de leur droit de retrait.

C’est un dernier appel à la raison : le gouvernement doit revenir sur ces économies, suppressions et fermetures afin de redonner du sens au mot «république» et à «l’égalité des chances pour tous», prétendue chère au Président.

Une étude publiée dans la revue «Computers in Human Behavior» montre que les enfants se tourneraient plus vers la technologie lorsqu’ils demandent une réponse, mais aussi, chez les plus petits, pour partager des secrets ou lier une amitié.

Face à l’activisme de collectifs réactionnaires diabolisant cet enseignement à l’école, il est urgent que le gouvernement prenne position et agisse pour protéger une information basée sur des faits et le respect de chacun.

Le gouvernement vient de décider de mettre fin au gel des frais d’inscription des étudiants. Ces coûts vont se remettre à suivre l’inflation et donc augmenter de 2,9 % en 2024. Les syndicats tonnent contre cette décision.

Depuis janvier, des élèves de seconde participent à une expérimentation visant à leur donner les moyens de viser la prestigieuse école, jusqu’ici fermée aux bacheliers professionnels. «Libération» a décidé de les suivre au long cours.

La directrice d’un lycée d’Ivry-sur-Seine était visée sur les réseaux sociaux après avoir exclu une élève qui portait l’abaya dans l’établissement. Le tribunal correctionnel de Paris a jugé l’affaire ce vendredi 31 mai.

Le département s’est délesté de ses instituts médico-éducatifs au profit d’une collaboration entre enseignants et éducateurs spécialisés. Permettant ainsi à des élèves ayant un handicap intellectuel de rester dans leur école de secteur.

Le recours croissant à ces professionnelles pose question alors que les critiques envers l’école inclusive n’ont jamais été aussi nombreuses.

Alors que des enseignants se plaignent de la difficulté d’accueillir des élèves ayant un trouble du neurodéveloppement, de nouvelles approches qui intègrent à l’équipe enseignante des éducateurs, psychologues, orthophonistes ou ergothérape

Etienne Pot, délégué interministériel pour les troubles du neurodéveloppement, plaide pour une meilleure formation à la connaissance de ces handicaps au sein des équipes enseignantes.

Valérie Pécresse a recommandé à la région d’approuver une nouvelle subvention de près de 400 000 euros pour l’établissement épinglé en janvier par un rapport sur des dérives et tandis que la ville de Paris a suspendu tout financement.

Malgré la pénurie de places, la qualité d’accueil des enfants est au cœur du rapport sur les crèches, voté ce lundi par l’Assemblée. La réservation des berceaux par les employeurs, remboursés en partie par l’Etat, est en ligne de mire.

Les 945 500 candidats, en majorité des lycéens, commenceront à recevoir des réponses en fin de journée. Une première étape, la phase d’admission principale de la plateforme s’achevant le 12 juillet.

Alors que la date butoir pour les stages d’observation en milieu professionnel approche, des élèves n’ayant toujours pas signé de convention et des parents stressés, témoignent des difficultés rencontrées.

Un lycéen de 18 ans a été arrêté ce lundi 27 mai après avoir agressé à l’arme blanche une professeure d’anglais, dont la vie n’est pas en danger, dans son lycée à Chemillé-en-Anjou. Pour expliquer son geste, l’ado raconte un «mal-être».

Dans l’attente d’une possible réouverture des établissements scolaires le 17 juin, les enseignants tentent de maintenir le contact avec leurs élèves, en proposant notamment des cours à distance.

Pourtant longtemps érigé comme un modèle, ce type de garde d’enfants à mi-chemin entre l’accueil chez une assistante maternelle et celui en structure collective souffre d’un manque de moyens et de personnels.

Les députés vont examiner ce lundi le rapport de la commission d’enquête sur le modèle économique des crèches. Une première étape pour tenter de restaurer un modèle défaillant.

Depuis novembre 2022, le secteur de la traduction s’inquiète : l’intelligence artificielle va-t-elle bouleverser le métier, voire remplacer ses acteurs ? «Libération» a rencontré plusieurs de ces étudiants, qui ont commencé leur cursus avan

Douze organisations et syndicats de l’Education nationale appellent à une manifestation nationale ce samedi 25 mai. Le but : faire preuve «d’unité» afin de maintenir la pression contre la réforme défendue par Gabriel Attal.

Les locaux de la prestigieuse Ecole normale supérieure de la rue d’Ulm sont fermés depuis jeudi soir, en raison de son occupation par «une trentaine d’étudiants» se revendiquant d’un «comité de mobilisation pour la Palestine».

Juriste italienne aujourd’hui retraitée, Sofia Corradi raconte comment sa propre expérience d’étudiante aux Etats-Unis l’a convaincue de créer un programme de mobilité et de reconnaissance des diplômes pour les jeunes européens.

Dans la Drôme ce vendredi 24 mai, le Premier ministre doit présenter de nouvelles mesures sur la justice des mineurs. Pour la gauche, comme pour les professionnels, les propositions déjà évoquées n’illustrent pas les priorités.

Fort de son expérience personnelle, Adama Camara sensibilise les jeunes aux risques des violences entre quartiers, avec une méthode à mille lieues de celle prônée par le gouvernement, axée sur la répression.

Ce jeudi 23 mai, l’administrateur de Sciences-po Jean Bassères a livré au Parisien les conclusions d’une enquête diligentée par l’administration de l’établissement.

En une grosse décennie, le sujet est sorti de l’ombre et les dispositifs de lutte se multiplient. Mais les spécialistes du sujet appellent à se méfier des «effets d’annonce».

Très médiatisée, la mort de l’adolescente en 2021 a eu des répercussions politiques, devenant un symbole des défaillances de l’Education nationale. «Libé» révèle des éléments remettant en question le récit qui en a été fait à l’époque.

Alors que certains pays testent déjà l’option des «casiers à portables» appelée de ses vœux par Nicole Belloubet en France, le bannissement total des smartphones à l’école fait débat dans la communauté scientifique.

Pour «Libération», des professeurs et proviseurs témoignent de la problématique du téléphone portable dans leurs établissements.

Depuis le 3 avril, la phase des entretiens et des concours de recrutement dans les formations sélectives du supérieur a commencé sur Parcoursup. Mais cette organisation, de plus en plus prisée par les formations, engendre des difficultés.

Alors que la réforme défendue par Attal est censée entrer en vigueur au collège à la rentrée, des syndicats n’en démordent pas et comptent multiplier les actions d’opposition. En commençant par une manifestation nationale le 25 mai.

Restaurer l’autorité à l’école ? Oui, mais pas «à coup de menton.» Pour l’ex-ministre de l’Education nationale et le prof de Seine-Saint-Denis aux 100% de réussite au bac, créer l’émulation et la paix en classe passe par la mixité sociale.

Nicole Belloubet a présenté jeudi ses «excuses» aux «familles blessées» par ses récents propos, lors d’une interview à France 2, qui faisaient l’amalgame entre élèves perturbateurs et élèves en situation de handicap.

Syndicats enseignants, parents d’élèves et parlementaires dénoncent régulièrement la mauvaise application d’une obligation inscrite dans la loi depuis 2019. En Vendée, une fermeture de classe vient d’être suspendue par la justice.

La ministre de l’Education nationale a annoncé la mise en place d’une «force mobile scolaire». Pourtant, depuis 2009, des équipes, dans chaque académie, sont chargées de traiter de la violence dans les écoles : décès, rixes, blocus…

Près de 80 manifestants ont été délogés ce mardi 7 mai au soir d’un amphi de la fac parisienne, qu’ils occupaient depuis près de deux heures.

Ce mardi 7 mai, jour de partiels, une vingtaine d’étudiants a tenté de bloquer l’établissement de la rue Saint-Guillaume, avant d’être repoussés par les forces de l’ordre.