Trois années d’exclusion de l’enseignement supérieur. Cette sanction a quelque chose de familier : elle a déjà été infligée récemment, au mois de juin, à un étudiant de l’université de Tours. L’homme avait préalablement été reconnu coupable d’agressions sexuelles sur deux étudiantes par la justice, qui l’a condamné à cinq ans de prison avec sursis. Une même sanction disciplinaire, trois ans d’exclusion de toute université française, a été appliquée dernièrement à une étudiante qui a dénoncé des violences sexuelles par le biais de graffitis, a appris Libération, confirmant une information de Sud Ouest.
Dans sa décision rendue le 24 septembre, la section